La femme tunisienne est-elle libre ?

La liberté est une notion assez défendue par plusieurs personnes en occurrence les pays et les organisations à vocation internationale. Elle était, est et fera l’objet de discussion toujours et à jamais si la notion contraire existe toujours ( la marginalisation des droits de l’Homme). Celà dire, les femmes tunisienne se soulèvent contre les pratiques barbare et réclame la liberté. Découvrez donc dans cet article la destination de cette lutte.

Les pratiques conduisant à la réclamation de la liberté du femme tunisienne

Beaucoup de pratique appelée barbare ont conduire les femmes tunisienne a se revendiqué en réclamant la liberté ou l’égalité. Pour les connaître, visitez ici. En effet, la maltraitance, la polygamie ou toute autre forme de violence sont les raisons qui ont poussées les femmes tunisienne a se révolter. Traditionnellement parlant, il y avait une loi appelé code de statut personnel (CSP). Ainsi donc, Bourguiba a faire de ce code un moyen de lutter contre l’inégalité. Autrement dit, il a faire de l’égalité entre la femme et l’homme une fameuse priorité. Là est une forme de réclamation de la liberté ou de l’égalité entre les sexes. Cependant, la loi du charia ne va en aucun cas dans ce sens. Pour cette dernière, le fils est le haut dignitaire et doit en bénéficier des ressorts d’une famille deux fois plus grande que la fille. Celà prouve que le féminisme n’a pas réellement sa place mais que les mouvements essayent quand de régulariser.

La liberté de la femme tunisienne n’est-elle pas une illusion de sens ?

En réalité, on aurait cru que la liberté ou l’émancipation de la femme tunisienne n’est qu’une illusion de sens. En d’autres termes, il n’y pas en tant que tel une marge d’égalité car le passé détermine énormément les comportements des Hommes. Du coup, on pourra parler d’émancipation ou d’égalité si les devoirs sont exécutés et don les droits doivent être reconnu. Ou encore si les luttes vont à bon port. C’est ce qui justifie d’ailleurs la thèse du parti islamiste Ennhada venu au pouvoir de parler d’une complémentarité entre l’homme et la femme.